Prise à partie sur les réseaux sociaux, la messagerie a dû se défendre. Lundi 6 septembre, sur Twitter, elle a affirmé ne pas avoir eu le choix. « Nous pouvons être contraints de collecter des informations sur des comptes appartenant à des utilisateurs faisant l’objet d’une enquête pénale suisse. Ce n’est évidemment pas fait par défaut, mais seulement si Proton obtient une commande légale pour un compte spécifique a-t-elle déclaré. Nous n’avions aucun motif ni aucune possibilité de faire appel de cette demande particulière ». Dans un communiqué publié sur son site dans l’après-midi, Protonmail récapitule son point de vue sur l’affaire et rappelle qu’il est accessible avec des garanties d’anonymat bien plus élevées via le navigateur Tor.
Cette contribution était de : http://www.gratilog.net/xoops/newbb/viewtopic.php?forum=20&topic_id=17842&post_id=204202